Étudier la leçon ECOSA du jeudi 29 Février 2024
Jeudi 28 février
LEÇON # 9
Titre: BÉNI SOIT CELUI QUI VIENT AU NOM DU SEIGNEUR
Étude de la semaine
Ps 23; Jn 10:11-15; Ps 22; Ps 89:27-32; Col 1:16; Ps 2; Heb 7:20-28.
Verset à mémoriser : « La pierre qu’ont rejetée ceux qui bâtissaient Est devenue la principale de l’angle. C’est de l’Éternel que cela est venu: c’est un prodige à nos yeux ». (Psaumes 118.22,23, LSG).
Sous-titre:Sacrificateur pour toujours, selon l’ordre de Melchisédek
Lisez Psaume 110:4-7. En quoi le sacerdoce de Christ est-il unique et quelle grande espérance pouvons-nous trouver dans Son sacerdoce céleste?
Dieu confère au Messie une royauté éternelle (Ps 110, 1-3) et un sacerdoce d’un rang supérieur, l’ordre de Melchisédek (Ps 110:4-7). Le Seigneur scelle Sa parole par une promesse solennelle (Hb 6:18). Le serment de Dieu de ne pas renoncer à nous donner un sacrificateur parfait est un signe de Sa grâce. Les péchés et les rébellions ouvertes provoquent constamment Dieu à abandonner Son peuple, mais le serment de Dieu est immuable et garantit Sa grâce en révoquant Son jugement sur le peuple repentant (Exode 32:14, Ps 106:45).
Le serment divin introduit un élément nouveau dans l’alliance davidique en déclarant que le Roi Messie est aussi Sacrificateur (Ps 110:4). Les rois d’Israël n’ont jamais pu fonctionner comme des sacrificateurs lévitiques (NB 8:19, 2 Ch 26:16-21). Lorsque l’Écriture mentionne des rois ou des peuples offrant des sacrifices, cela implique qu’ils apportent les sacrifices aux sacrificateurs, qui sont ceux qui les offrent. Le Psaume 110 distingue le Roi Messie des autres rois et sacrificateurs d’Israël. Le sacerdoce éternel de Christ dérive de Melchisédek, qui était à la fois roi de Salem (Jérusalem) et sacrificateur du « Dieu très haut » (Gn 14:18-20).
L’Ancien Testament n’a jamais mentionné le roi David ou tout autre roi israélite comme possédant le sacerdoce selon l’ordre de Melchisédek, à l’exception du Psaume 110. Il est clair que le psaume parle d’un roi-sacrificateur particulier dans l’histoire d’Israël.
Lisez Hébreux 7:20-28. Quelles sont les implications du sacerdoce supérieur de Christ?
En tant que Roi divin et Sacrificateur éternel, Christ a une supériorité sans précédent sur les sacrificateurs et les rois humains. Nous pouvons donc avoir l’espoir. Christ défend une alliance supérieure qui repose sur le serment de Dieu et non sur des promesses humaines. Il sert dans le sanctuaire céleste.
Son sacerdoce n’est pas affecté par le péché ou la mort, comme celui des sacrificateurs humains, et Il peut donc intercéder pour Son peuple et le sauver à jamais. L’œuvre de réconciliation de Christ, Sacrificateur parfait et compatissant, donne à Son peuple l’assurance durable de demeurer dans la présence même de Dieu (Hb 6:19, 20). Le sacerdoce royal de Christ abolira la domination du mal, non seulement dans le cœur du peuple, mais aussi dans le monde.
Il tiendra la promesse du Psaume 2 selon laquelle toute nation et tout dirigeant seront soumis au jugement royal du Christ Jésus (Ps 2:6-9; Ps 110:1, 2, 5, 6). Le merveilleux sacerdoce royal de Jésus exige notre obéissance et notre confiance absolu.
Lire aussi
La méditation quotidienne du jeudi 29 février
Ensuite:
Extraits des commentaires de l'esprit de prophétie
Jeudi 29
février 2024
Le Christ avait pour mission de
présenter la vérité dans le cadre de l’Évangile et de faire connaître les
préceptes et les principes qu'il avait donnés à l'homme déchu. Toutes les idées
qu'il exposait étaient les siennes. Il n'avait nul besoin d'emprunter des
pensées à d'autres, étant lui-même l'auteur de toute vérité. Il pouvait garder
son originalité tout en exposant les idées des prophètes et des
philosophes ; car il possédait toute sagesse ; il était la source de
toute vérité. Il était en avance sur tous et par ses enseignements il est
devenu le conducteur spirituel pour tous les siècles.
C'était le Christ qui parlait par
l'intermédiaire de Melchisédek, le sacrificateur du Dieu très-haut. Melchisédek
n'était pas le Christ ; il était la voix de Dieu dans le monde, le
représentant du Père. Au cours de toutes les générations passées, le Christ a
parlé ; il a été le conducteur de son peuple, la lumière du monde.
Selected
Messages Book 1, p. 409 ; Messages choisis, vol. 1, p.
478, 479.
... Sous l’enfant de Bethléhem se cachait la gloire devant laquelle les anges se prosternent. Ce petit être inconscient était la postérité promise qu’annonçait le premier autel dressé à l’entrée de l’Éden, le Schilôh, le Pacificateur. C’est lui qui s’était nommé à Moïse : JE SUIS. C’est lui qui avait conduit Israël dans la colonne de nuée et de feu. C’est lui que les voyants avaient dès longtemps annoncé : le Désiré de toutes les nations, la Racine et le Rejeton de David, l’Étoile brillante du matin. Le nom de ce faible enfant, consigné sur le registre d’Israël comme l’un de nos frères, c’était l’espérance de l’humanité déchue. Cet enfant, pour qui l’on paya le prix du rachat, c’est lui qui devait payer la rançon pour les péchés du monde entier. Il était le vrai « grand-prêtre établi sur la maison de Dieu », le chef d’un « sacerdoce non transmissible », l’intercesseur qui « s’est assis à la droite de la majesté divine au plus haut des cieux » (Hébreux 10.21 ; 7.24 ; 1.3).
The Desire of Ages, p. 52 ; Jésus-Christ, p. 37.
L'arc-en-ciel qui encercle le trône
de Dieu est un gage de sa fidélité. Il nous atteste qu'il n'y a en lui ni
variation, ni même l'ombre d'un changement. Nous avons péché contre lui et nous
avons démérité de sa bonté... Quand nous venons à lui pour confesser notre
indignité et notre péché, il prête attention à nos cris. L'honneur de son trône
est engagé dans l'accomplissement de ses promesses.
Comme Aaron qui le préfigurait, notre Sauveur, dans le
lieu saint, porte le nom de ses enfants sur son cœur. Notre grand-prêtre se
souvient de toutes les paroles qu'il nous a adressées pour fortifier notre foi.
Il n'oublie pas l'alliance qu'il a contractée avec nous.
Tous ceux qui le cherchent le
trouveront ; tous ceux qui frappent à la porte la verront s'ouvrir. Ils
n'entendront pas l'excuse de la parabole : « Laisse-moi
tranquille ; la porte est fermée ; je n'ai nulle envie de
l'ouvrir. » Il ne leur sera jamais répondu : “Je ne peux pas te
secourir. »
Christ’s Object Lessons, p. 148 ; Les
Paraboles de Jésus, p. 122.
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