Étudier la leçon ECOSA du dimanche 17 mars 2024
Leçon # 12
Titre: Une louange sans fin
Lecture de la semaine: Ps 134; Es 42:10-12; Apo 14:3; Ps 15; Ps 101:1-3; Ps 96; Apo 14:6-12; Jn 4:23, 24.
Verset à mémoriser: « Je chanterai l’Éternel tant que je vivrai, je célèbrerai mon Dieu tant que j’existerai » (Psaume 104:33, LSG).
Dimanche 17 mars
Élevez vos mains vers le sanctuaire
Lisez Psaume 134. Où se tient le culte offert dans ce passage? Quel est l’issue de l’adoration de l’Éternel?
Le Psaume 134 rappelle la bénédiction sacerdotale du grand prêtre dans Nombres 6:24-26 (également Ps 67:1) et souligne que la bénédiction est le prin- cipe sous-jacent et le résultat de la relation entre Dieu et Israël. Le peuple bénit Dieu dans le sanctuaire, et Dieu bénit Son peuple depuis Sion. Les bénédictions s’étendent à toute la vie, car l’Éternel est le Créateur du ciel et de la terre. La mention de Sion comme lieu de bénédictions divines spéciales souligne la relation d’alliance entre l’Éternel et Son peuple. C’est donc dans le cadre de l’alliance de grâce qu’Israël exerce le privilège de bénir l’Éternel et qu’il est béni par Lui.
Lisez Ps 18.1; Ps 36.1; Ps 113.1; Ps 134.1, 2; et Ps 134.1-2. Comment les adorateurs sont-ils décrits dans ces passages?
Les Psaumes décrivent souvent les adorateurs comme les serviteurs de l’Éternel. Les paroles « Qui vous tenez dans la maison de l’Éternel pendant les nuits » (Ps 134:1, LSG) font probablement référence à la garde nocturne des Lévites (1 Ch 9:23-27) ou à la louange qui était offerte à Dieu par les Lévites jour et nuit (1 Ch 9:33).
Puisque les Israélites adoraient le Dieu invisible, qui ne pouvait être représenté sous la forme d’image, le sanctuaire servait à refléter la gloire de l’Éternel et à fournir un environnement sûr pour que les pécheurs puissent s’approcher de leur saint Roi. Cette rencontre est initiée par l’Éternel Lui-même et régie par Ses lois et Ses décrets. «
Approchez-vous de lui, pierre vivante, rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse devant Dieu; et vous-mêmes, comme des pierres vivantes, édifiez-vous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d’offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Jésus Christ » (1 Pierre 2:4, 5, LSG). Nous voyons ici, dans les mots de Pierre, une expression du Nouveau Testament des mêmes idées présentées dans ces psaumes, à savoir que le peuple de Dieu, devenu un saint sacerdoce, offre des louanges et des remerciements à son Seigneur Jésus-Christ, son Créateur et Rédempteur, pour toutes les bonnes choses qu’Il a faites pour lui.
En tant que croyants du Nouveau Testament, nous avons également un rôle sacerdotal en ce sens que nous sommes appelés à transmettre la bonne nouvelle de l’évangile au monde. Quels sont les moyens les plus efficaces pour y parvenir?
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Dimanche
17 mars 2024
En
poussant les hommes à violer le second commandement, Satan cherchait à ravaler
leur conception de l’Être suprême. En annulant le quatrième, il voulait les
amener à oublier l’Éternel. En effet, selon ce commandement, les droits de Dieu
à être obéi et à être seul adoré ont pour base le fait qu’il est le Créateur de
tous les êtres. La Bible est formelle sur ce point. On lit dans le prophète
Jérémie :
« L’Éternel
est le vrai Dieu ; il est le Dieu vivant, le Roi éternel... Ils disparaîtront
de dessus la terre et de dessous les cieux, ces dieux qui n’ont fait ni les
cieux ni la terre. C’est l’Éternel qui a créé la terre par sa puissance,
affermi le monde par sa sagesse, étendu les cieux par son intelligence… (Jérémie
10.10-12.)
Le
jour du repos, mémorial de l’œuvre créatrice, nous rappelle que Dieu est le
Créateur des cieux et de la terre. Témoin constant de son existence, il nous
montre sa grandeur, sa richesse et son amour. Par conséquent, si le jour du
repos avait toujours été sanctifié, il n’y aurait jamais eu sur la terre
d’idolâtres ni d’athées.
Patriarchs and Prophets, p. 336 ; Patriaches
et Prophètes, p. 310.
... l’Église est le sanctuaire de la congrégation... Rien de ce qui est sacré, rien de ce qui appartient au service de Dieu ne doit être traité avec négligence ou indifférence. Afin que les hommes puissent faire de leur mieux en célébrant les louanges de Dieu, leurs associations devront tendre à maintenir la distinction dans leur esprit entre les choses sacrées et les choses profanes.
Ceux qui ont
des idées larges, des pensées et des aspirations nobles, sont ceux dont la
compagnie fortifie toutes les pensées ayant traits aux choses divines. Heureux
ceux qui possèdent un sanctuaire humble ou élevé, dans la ville ou dans les
cavernes sauvages des montagnes, dans l'humble cabane ou dans le désert !
Si c'est ce qu'ils peuvent offrir de mieux au Maître, celui-ci honorera le lieu
de sa présence, et ce lieu sera saint pour l’Éternel des armées.
Testimonies for the Church, vol. 5, p. 491 ; Conseils à
l’Église, p. 201.
Ici est mise en évidence la même vérité que Jésus avait révélée à Nicodème quand il lui dit : « Si un homme ne naît d’en haut, il ne peut voir le royaume de Dieu » (Jean 3.3) ... Seule la religion procédant de Dieu peut conduire à lui. On ne peut le servir convenablement que si l’on est né de l’Esprit divin. C’est ainsi seulement que le cœur peut être purifié, l’esprit renouvelé, et que l’on devient apte à connaître et à aimer Dieu.
Alors
seulement on obéit volontairement à toutes ses exigences, ce qui est le vrai
culte. Tel est le fruit de l’opération du Saint-Esprit. Toute prière sincère
est inspirée par l’Esprit et devient dès lors acceptable à Dieu. Partout où une
âme se met à la recherche de Dieu l’action de l’Esprit est manifeste et Dieu se
fait connaître à l’âme. De tels adorateurs sont demandés par lui. Il les
attend, prêt à les recevoir, à faire d’eux des fils et des filles.
The
Desire of Ages,
p. 189 ; Jésus-Christ, p. 170.
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