Étuudier la leçon ECOSA du lundi 29 janvier 2024
Lundi 29 janvier
Titre:Chanter les cantiques de l’Éternel sur une terre étrangère
Verset à mémoriser: Comment chanterions-nous les cantiques de l’Éternel Sur une terre étrangère? » (Psaume 137:4).
Sous-titre: À la porte de la mort
Lisez Ps. 41.1-4; Ps. 88:3-12; Ps. 102_3-5, 11, 23, 24.
Quelles expériences ces textes décrivent-ils? Quelle situation pouvez-vous relier à ce qui est dit dans ces passages?
Ces prières pour être sauvés de la maladie et de la mort démontrent que les
enfants de Dieu ne sont pas exempts des souffrances de ce monde. Les Psaumes
révèlent les terribles afflictions du psalmiste. Il est sans force, flétri comme
l’herbe, incapable de manger, mis à part avec les morts, couché comme un mort
dans le tombeau, repoussé par ses amis, souffrant et désespéré. Ses os s’accrochent à sa chair.
De nombreux Psaumes expriment l’idée que le Seigneur avait permis que des
problèmes arrivent à cause de la désobéissance d’Israël. Le psalmiste reconnait
que le péché peut entrainer la maladie; c’est pourquoi il fait référence au pardon
qui précède la guérison (Ps 41:3, 4). Cependant, certains Psaumes, comme le
Psaume 88 et le Psaume 102, reconnaissent que la souffrance du peuple de Dieu
est une réalité de la vie, même si elle est difficile à comprendre.
Dans le Psaume 88, le psalmiste accuse Dieu de l’avoir conduit à la porte de la
mort (Ps 88:6-8). Remarquez cependant que même lorsque les plaintes les plus
audacieuses sont formulées, la lamentation est clairement un acte de foi, car si
l’Éternel, dans Sa souveraineté, permet que les problèmes arrivent, Il peut rétablir
le bien -être de Son enfant.
Au seuil de la tombe, le psalmiste se souvient des merveilles, de la bonté, de
la fidélité et de la justice de Dieu (Ps 88:10-12). Bien qu’il se sente frappé par
Dieu, le psalmiste s’accroche à Lui. Bien qu’il souffre, il ne renie pas l’amour de
Dieu et sait que Dieu est son seul salut. Ces appels montrent que le psalmiste ne
connait pas seulement la souffrance, mais qu’il a aussi une connaissance intime
de la grâce de Dieu et que les deux (la grâce et la souffrance) ne s’excluent pas
nécessairement l’un l’autre.
En bref, la souffrance permise par Dieu et Sa délivrance sont toutes des
démonstrations de Sa souveraineté ultime. Le fait de savoir que Dieu contrôle
la situation suscite l’espoir. Lorsque nous lisons le Psaume 88 à la lumière de
la souffrance de Christ, nous sommes impressionnés par la profondeur de Son
amour, qui L’avait poussé à franchir la porte de la mort pour le bien de l’humanité.
Pensez à Jésus sur la croix et à ce qu’Il avait souffert à cause du
péché. Comment cette réalité, à savoir que Dieu en Christ avait souffert encore plus que chacun d’entre nous, devrait-elle nous aider à
garder la foi même dans les moments de souffrance et d’épreuve?
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Bonjour. Bon matin. Bonne journée frères et soeurs. Comment garder la Foi même dans les moments de maladies, de souffrance corporel, d’esprit et mental? Merçi Dieu vous bénisse! Amen
RépondreEffacerLes différentes souffrances auxquelles l’humanité est soumise sont tributaires à l’éclosion du péché. Toute solution définitive à nos épreuves participe de l’éradication totale de cet adversaire de notre bien-être.
RépondreEffacer